Mère éternelle

Les larmes rident mon pouvoir
L'obscurité m'enpeche de voir
Les sont hors de ma portée
Afin d'éclairer la vérité
Une nostalgie fatale
Pour la terre natale

Dans un silence je psalmodie
L'école de ma pensée
Mes souvenies opprimés
Dans l'unique mère patrie

Une passion éternelle
Pour une mère immortelle
Amour rendu à la terre bénie
La sève qui longtemps nous a nourris
Berceau de tendresse inépuisible
L'amour sacré intouchable
La fleur que nous anons chantée
Cette mère qui s'appelle l'algérie
.